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logne est rendue à la France, et invitant le Bureau de la Ville à remercier le Ciel par une procession générale, aio. — Ses lettres patentes, en date du i3 avril, au­torisant l'ouverture du pont-levis de la porte de Nesle, 211, 21a. — Ses lettres, datées du 6 juin, relatives à la conversion de la monnaie de billon en espèces de bon aloi, 312, 213. — II demande à la Ville un prêt de 180,ooo livres tournois, et l'Assemblée municipale consacre deux délibérations à l'examen de cette affaire, •2i4, 2i5. — Réjouissances publiques à l'occasion de la naissance de son troisième fils, le 27 juin, 214. — Ses lettres, en date du 1" août, enjoignant au Prévôt des Marchands et aux Échevins de tenir la main à ce que le contrôleur Robert de Beauvais ne touche aucun salaire sur les deniers de ia Ville, 217. — -■' invite 'e Bureau de la Ville à détourner le cours des égouts, 218, 219. — Il recommande au Bureau de la Ville la clôture des faubourgs de la rive gauche, la construction d'un pont entre le Louvre et la porte de Nesle, et le creusement d'un port dans cette dernière région ; mais le Prévôt des Marchands présente diverses objections contre ces projets, 219, 220, 221. — Ses lettres pa­tentes, en date du 8 septembre, relatives à la clôture des faubourgs, 222, 223. —Ses lettres, en date du 9 septembre, recommandant au Prévôt de Paris de s'entendre avec le Bureau de la Ville pour l'établis­sement d'un bac, dont les revenus seraient employés à la clôture des faubourgs, 223 , 2 2 4. — Ses lettres, en dale du 9 septembre, invitant le Prévôt de Paris à consulter le Bureau de la Ville pour le recouvrement des fonds nécessaires à la clôture des faubourgs, 2 2 4.
—  Ses lettres, en date du 9 septembre, prescrivant au Bureau de la Ville de veiller à ce que les Com­missaires et les Quarteniers soient convenablement répartis dans les quartiers et s'acquittent exactement de leurs fonctions, 224, 225. — Ses lettres, en date du 9 septembre, invitant Philibert Delorme, son architecte, à faire les études nécessaires pour le déversement des égouts dans la Seine, aa5. — Ses lettres patentes, da­tées de septembre, nommant Antoine du Belloy, capi­taine des archers, des arbalétriers et des hacquebutiers de la Ville, 229, 23o, a3i. — Ses lettres, en date du 27 décembre, demandant à l'Écheviuage parisien des explications sur la diminution de certaines fermes, 236.
—  Ces explications lui sont fournies par le Prévôt des Marchands, 2 36. — Ses lettres patentes, en dale du
20  août, autorisant trois marchands à faire flotter leur bois sur les affluents de la Seine, 237, 9^8-
Henri II. En 1551 : ses lettres missives, en date du
21  mars, recommandant aux Echevins les études néces­saires pour assurer la navigabilité de la Marne, de l'Oise et de la Blaise, 242. — Ses lettres patentes, en date du 18 janvier, autorisant le Prévôt des Marchands à visiter, dans le but susmentionné, la Marne, l'Oise et la Blaise, 24s, 243. — Par des lettres en date du 9 mai, il de-
mande à la Ville les fonds qui lui sont nécessaires, en offrant pour garantie les revenus de quelques-unes de ses fermes, 246, 247. — Ses lettres, en date du 9 mai,
. priant le Bureau de la Ville de s'entendre avec les mar­guilliers de Saint-Eustache, pour la cession d'un mou-
. lin qui leur appartient et où il voudrait établir un ate­lier monétaire, 247, 248. — Le 15 mai, l'Assemblée de Ville délibère sur la demande de fonds qui lui a été adressée par ce prince, et lui accorde 24o,ooo livres tournois, dont le remboursement doit être garanti par une rente au denier douze sur les fermes royales, 2 48, 249. — Ses lettres, en date du 9 mai, recommandant au Bureau de la Ville de faire une réception honorable au marquis de Northampton, ambassadeur d'Angleterre, 249 et Errata. — Ses lettres, en date du i5 juillet, invitant la Bureau de la Ville à saluer de nouveau le marquis de Northampton, lors du retour de ce diplo­mate à Paris, 2 53. — Il demande b la Ville, par l'or­gane du cardinal de Lorraine, un prêt de 3oo,ooo écus, 253, 254, 255. —Ses lettres, en date du 11 août, concernant le prêt de 3oo,ooo écus qu'il a demandé, 2 55. — L'Assemblée municipale délibère sur sa de­mande le i3 août, et, le même jour, le Bureau de la Ville lui écrit qu'on ne poura immédiatement le satis­faire, 256, 257, 358. — Pal' des lettres en date du 17 août, le Bureau de la Ville lui demande quelles sont ses intentions relativement à la prestation de serment . des Échevins nouvellement élus, 269, 260. —ll or­donne que les nouveaux Echevins prêtent serment entre les mains du Premier Président du Parlement, 261. — Ses lettres, en date du 3 septembre, invitant le Bureau de la Ville à se transporter dans les faubourgs dela rive gauche avec Jean Portinaris, auteur d'un projet de clô­ture de ces mêmes faubourgs, 263. — Le 18 novembre, il assiste à une procession générale, 268. — Par des lettres en date du 26 décembre, il propose à la Ville les revenus de ses greniers à sel dans la généralité d'Outre-Seine et Vonne, en échange des rentes constituées sur les fermes de la banlieue, 276, 277.
------ En 155 2 : délibération, en date du 4 janvier, sur
l'échange proposé dans les lettres ci-dessus mentionnées, 277.— Lettres patentes, en date du 8 janvier, par lesquelles ce prince déclare qu'il se voit contraint de • lever sur les villes closes de la Prévôté de Paris, pour la solde de 5o,ooo hommes pendant quatre mois, la somme de 1,200,000 livres, à laquelle Paris contri­buera pour 180,000 livres, 281 à 284. —'Délibéra­tion, en date du 26 janvier, portant qu'on demandera à ce prince une réduction de la part contributive impo­sée à la Ville, 285, 286. — Il refuse de réduire le chiffre de 180,000 livres imposé par ses lettres patentes, mais il autorise la Ville à lever celte somme sur l'aide du vin entrant à Paris ou en sortant, 286. — L'Assem-
. blée municipale, réunie Ie 9 février, prend connaissance des lettres, datées du 9 septembre précédent, par